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LÀ OÙ LE VENT

(pièce pour 5 danseurs / 45 minutes)

Elles sont elle. Elles évoluent ensemble, elles construisent et déconstruisent
ensemble.
Chacune de leur côté.
Elles vivent l’une par l’autre, l’une pour l’autre.

 

Ce n’est pas un hasard si cette pièce s’appelle « Là où le vent ». Ce titre est le
reflet des différents mondes que rencontre le schizophrène durant ses crises.
Durant cette création de 45min, Emilie Garcia illustre les différents types
de la schizophrénie. Ceci entraîne des énergies diverses, des exploitations de
corps variées, une utilisation du sol plus ou moins présente, mais aussi des
contacts, des rejets. Inspirée de divers mondes merveilleux, « Là où le vent »
laisse apparaître des créatures déroutantes sorties de l’imaginaire de la
chorégraphe. Tout au long du spectacle, les interprètes vont au bout d’elles
mêmes tant au niveau de leur technique que leurs émotions
Les danseuses entraînent le spectateur dans différents univers musicaux
et chorégraphiques qui sont à la fois proches et éloignés. Ainsi, ce dernier est
transporté d’un monde à l’autre, d’une émotion à une autre. Et doit faire face à
ses émotions.
La création d’Emilie Garcia n’est pas seulement de la danse, il s’agit d’une
vraie mise en scène théâtrale remplie d’anachronismes qui peuvent déstabiliser le
public. L’humour apporté à la création lui donne une originalité, et apporte
également une touche de dérision et un univers bien spécifique dans lequel le
travail de la chorégraphe prend toute son ampleur.

Cette pièce choc marque l'univers de la chorégraphe. Elle est avec cette pièce finaliste du Concours National des Jeunes Chorégraphes en 2012.
Ces changements d’ambiance font de «  Là où le vent » une pièce atypique
et onirique, séduisant le plus grand nombre.

 

"EN MI PIEL"

(pièce pour 6 danseurs / 45 minutes)

 

« Rien ne commence dans l'enfance (…) tout a déjà pris
racine avant sans qu
e l'on s'en aperçoive. »
Florence Delaporte

« Que reste-t-il des souvenirs que nous avons
vécu ? Et que reste-t-il de ceux que nous n’avons pas vécus ? Ceux qui sont
cachés au plus profond de nous, ceux qui sont difficiles à cerner, ceux que
nos ancêtres nous font porter malgré eux.


"Je crois que ceux qui peuvent nous atteindre, c’est ceux qui font mal, ceux
qui portent en eux une force et une souffrance telle qu’elle en traverse des
générations. Cette peur qu’ils ont vécu et que l’on ne peut pas quantifier
tant elle était grande. Ce combat qu’ils ont mené.
C’est ce qui nous marque et nous atteint, nous, descendants. Un choc
indirect.
J’en suis persuadée.
Je me suis attachée ici à mon histoire, qui finalement est celle de la plupart
des gens. Je me suis servie de la danse pour décrire l’impact que peuvent
avoir des faits tragiques et marquants sur les ascendances.
On peut ne jamais nous avoir raconté et en ressentir une blessure."

Emilie Garcia

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COKELICOT

(pièce pour 6 danseurs / 45 minutes)

« Merveilleuse fleur que le coquelicot.


La beauté, le rouge de l’Amour, le poison.
La foule d’un champ de coquelicot, mais au final, la solitude.
J’ai toujours été subjuguée par cette fleur depuis enfant. Elle est tellement fragile.
Elle a également souvent été appréciée par beaucoup de peintres qui peignaient des fleurs
comme Monnet qui en a réalisé plusieurs tableaux.
Mais au final ne cache t’elle pas des vices tant elle est belle?
Le coquelicot se meurt dés qu’on la cueille.
Elle est également la fleur de pavot appelée également opium qui est une drogue.
J’ai voulu traiter dans cette pièce l'addiction. L'addiction à la drogue.

Je l’ai traité à ma manière, une fois de plus, en y amenant mon univers noir, onirique et poétique. »

Emilie Garcia

Train de nuit

(En cours de création)

«Train de nuit», c’est le voyage qu’empruntent les femmes depuis l’Aube du Monde. Un chemin sinueux, sombre et tortueux avec une histoire commune qu’elles trainent comme des chaînes à leurs pieds. C’est un état des lieux. Des combats, des victoires. Des joies. Une histoire. Des histoires qui relient ces femmes entre elles pour en faire une histoire commune.
Abandon. Rage. Amour. Don de soi.
Sororité.
L’Aurore arrivera un jour.

  • Réalisation: Elsa Fort pour Zenkaprod©

  • Musique: Malo Crespin©

  • Chorégraphie et mise en scène: Emilie Garcia©


(Pour une meilleure version, visionnez en HD)

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